Once upon a dance
Un documentaire sur le «pouvoir» réparateur de la danse
Imaginer un documentaire sur le « pouvoir » réparateur de la danse…Commencer à dresser une liste « rêvée » des personnes avec qui danser… Comme un challenge auquel on ne pourrait pas se dérober, décider de relever ce défi face à la caméra… parce que nous avons tous le droit de vivre notre corps en mouvement, en dansant, quelques soient les traumatismes que ce corps a pu encaisser… Pour montrer que c’est possible, donner du sens à l’expérience ! Et, pourquoi pas, encourager d’autres personnes à y croire aussi… Tel est le projet d’Anne Lucie Viscardi, actuellement en phase d’écriture et de développement.
On recheche
- Du matériel de tournage
- Le financement des déplacements
- Des fonds pour payer l’équipe de tournage
- Des studios de danse ici et là
On en est où?
Déjà 5 rencontres ont eu lieu, et ont été filmées pour ne rien rater. Ces rencontres vont permettre l’écriture du film, afin de choisir (difficilement) quelles seront les séquences qui figureront dans le film.
Il reste 8 personnes à rencontrer sur 4 lieux géographiques différents.
Dérusher, s’isoler, écrire le film, l’histoire à conter, l’aventure à partager, avant de passer à l’étape du tournage.
Budget estimé
Pour soutenir la phase d’écriture et développement du projet, les fonds serviront aux droits d’auteur, aux déplacements pour aller à la rencontre des protagonistes pressentis pour le documentaire et pouvoir filmer ces rencontres, avec une équipe image + son, même en préparation… pour ne pas en perdre une miette, et capter ce qui arrive spontanément !
La genèse
Quand Anne Lucie est sortie de l’amnésie traumatique, il y a presque 4 ans, elle a été envahie par un besoin, celui de danser. Avec les souvenirs qui se libéraient, « sa danse » se libérait également… Alors, elle a dansé seule dans mon salon.
La vérité était remontée au conscient, c’était dur et à la fois libérateur. Elle acceptait cette envie de danser… Et puis entre 2 mouvements, elle a eu un flash… elle a compris que si son passé avait été différent, que si elle n’avait pas vécu ce traumatisme, elle aurait pu continuer de danser… devenir danseuse.
Le mot d'Anne Lucie
Depuis toujours, il est là, il existe secrètement, je l’ai gardé en moi… dans ma tête, il y a un studio de danse dans lequel je peux me réfugier quand je veux et créer des chorégraphies. Des chorégraphies où mon corps tourne et virevolte avec aisance…
En réalisant ce documentaire, je me lance le défi de vivre ce studio de danse, dans le réel.
Avec ce film, je souhaite lier 2 envies :
- celle de me lancer le défi de danser à nouveau et de le partager avec des personnes qui ont comptées dans mon parcours de vie.
- celle d’aller à la rencontre « d’experts » qui utilisent, préconisent, la danse comme un moyen de réparation, comme un vecteur de joie, de mieux être, pour les corps fragilisés, tant physiquement que psychiquement.
Parce que cela parle d’art, de danse, de réparation par une pratique artistique, de résilience et de réaliser ses rêves. Tout ce que l’on aime !
On imagine autant que possible espérer pouvoir soutenir ce film, son processus créatif. On imagine contribuer à notre échelle à un projet qui mettra en lumière une initiative positive qui montre que l’après traumatisme est possible et qu’il se partage. L’expérience partagée se charge en force et nourrie ceux qui reçoivent un peu de cette force pour, à leur tour, passer à l’action.